Histoire
1300
1393
La commune de Valz-sous-Châteauneuf se nomme Vallis supra Alzonum selon le livre « Toponymie Générale de la France« .
1400
N.C.
1500
1585-1605
La Reine Margot aurait effectué plusieurs passages dans la commune afin d’exercer quelques activités coquines. Pour plus d’informations sur l’histoire de la Reine Margot dans la région, nous vous invitons à consulter ce site internet.
1600
N.C.
1700
1736
La paroisse se nomme Val sous Chateauneuf du Drac (registre des actes de baptêmes, mariages et sépultures de la commune – page 19).
1738
La paroisse se nomme Val sous Chateau Neuf (registre des actes de baptêmes, mariages et sépultures de la commune – page 23).
1739
La paroisse se nomme Val sous Chateauneuf du Draps près Issoire (registre des actes de baptêmes, mariages et sépultures de la commune – page 26).
1741
La paroisse se nomme Val près Ambert (registre des actes de baptêmes, mariages et sépultures de la commune – page 32).
1745
La paroisse se nomme Val sous Chateauneuf (registre des actes de baptêmes, mariages et sépultures de la commune – page 44).
1750
La paroisse se nomme Val sur Usson (registre des actes de baptêmes, mariages et sépultures de la commune – page 66).
1752
La paroisse se nomme Vals sous Chateauneuf du Drapt (registre des actes de baptêmes, mariages et sépultures de la commune – page 73).
1752 – 1773
Entre 1752 et 1773 l’église a subi des Travaux de réparation selon les archives départementales :
« Présentation du contenu : Réparations à l’église et au clocher : délibérations ; lettres de M. Lafont de Saint-Marts ; ordonnances de l’intendant ; adjudication, en 1771 ; arrêt du Conseil, approuvant l’adjudication et ordonnant l’imposition de la dépense ; rôle de répartition ; requêtes des entrepreneurs, 1773 ; – réparations du presbytère, 1752« .
1763
La paroisse se nomme de nouveau Val sous Chateauneuf (registre des actes de baptêmes, mariages et sépultures de la commune – page 107).
1793
La commune se nomme Val sous Chateauneuf (registre des actes de baptêmes, mariages et sépultures de la commune).
1800
1806
Le 27 octobre, la succursale de Valz est supprimée. Cette dernière est désormais rattachée à Peslière.
1828
Un desservant (personne desservant une église, une chapelle) aurait refusé de faire des enterrements sur la commune (archives départementales).
1830 – 1832
Le cadastre dit napoléonien est élaboré entre le 5 avril 1830 et le 11 mai 1832 par les géomètres Sanitas, Blot et Dabzol. Le découpage est le suivant, selon les archives départementales :
- Tableau d’assemblage du plan cadastral parcellaire de la commune de Vals : Ech. 1/10000. Levé par Sanitas, géomètre du cadastre. Terminé le 15 mai 1832
- Section A de Chambrefaite : Ech. 1/2500. Levée par Blot, géomètre du cadastre. Terminée le 25 avril 1832. [correspond à la section C De Peslières]
- Section B de Vieilleprade, 1ère feuille : Ech. 1/2500. Levée par Dabzol, géomètre du cadastre. Terminée le 10 mai 1832
- Section B de Vieilleprade, 2ème feuille : Ech. 1/2500. Levée par Dabzol, géomètre du cadastre. Terminée le 1 mai 1832
1845 – 1846
D’après les archives départementales, une tentative d’homicide aurait eu lieu dans la commune (dossier de procédure N°3793).
1849
Le 28 janvier François Baubet devient maire de la commune. Il succède à Joseph Hospital.
1866
Le 29 mai une délibération est prise pour effectuer la pose d’une porte en fer au cimetière. Toujours à cette date, Monsieur Bonnefont devient l’instituteur de la commune.
Le 20 septembre, Charles Oscar Planat, député et conseiller général, veut exécuter des travaux de recherche sur des sites métallifères de la commune (Lire sa lettre).
Le 28 octobre, dans une lettre adressée à la Mairie de Valz, Guillaume Dumas de Celioux le Bas indique avoir découvert une mine de cuivre et minéraux (Lire sa lettre).
1868
Le 08 mars, le conseil municipal fait part d’un projet de construction d’une maison d’école et de Mairie.
1870
Le 11 novembre, Antoine Fresse devient le Maire de la commune. Il remplace François Baubet après 21 ans de mandat.
1871
Le 19 février, une délibération est prise pour consolider le mur du cimetière.
1872
Le 15 février, une délibération est prise pour entreprendre la pose d’un plancher à l’église et pour installer des bancs autour de celle-ci. Ce même jour, une délibération est prise pour la création d’une passerelle sur la rivière de Valz.
1873
Le 30 mars, une délibération est prise pour entreprendre des travaux sur le presbytère (agrandissement, création d’une cuisine et pose d’une porte).
Le 22 octobre, Monsieur Hermet, cultivateur de vieilleprade et conseiller municipal, déclare la disparition de sa fille en Mairie (fugue ?).
Le 29 novembre, une délibération est prise afin de rechercher un instituteur pour l’école de la commune.
1874
Le 14 février, Monsieur Antoine Lévigne est nommé instituteur public par le préfet du Puy-de-Dôme.
1875
Le 08 février, une délibération est prise afin de créer un bureau de tabac (épicerie).
Le 25 mai, le conseil municipal à l’unanimité, proteste contre les démarches faites par la commune de Saint-Martin-d’Ollières. Cette dernière souhaite que le chemin d’intérêt commun N°33 traverse la commune.
Le 05 septembre, une délibération est prise afin que la section de Celioux reste annexée à la commune de Valz.
Le 28 décembre, Monsieur Jean Gaillard devient l’instituteur de la commune.
1876
Le 14 juin, vu le mauvais état des chemins qui ont été dégradé par les inondations de septembre, le conseil municipal délibère afin d’effectuer des réparations.
Le 13 août, le conseil municipal d’un accord unanime délibère que la somme nécessaire pour la construction d’une école primaire est de 8 000 francs.
Le 26 octobre, Mathieu Passemard devient le Maire de la commune. Il remplace Antoine Fresse après 6 ans de mandat.
Le 10 décembre, suite à la demandes des facteurs de Valz et de Saint-Martin-d’Ollières et étant donné que le village de Vieille-Prade est la localité la plus considérable de la commune, le conseil municipal décide de transférer la boite aux lettres de Chambrefaite à Vieille-Prade.
1877
Le 14 janvier, le conseil municipal délibère sur la création d’une école mixte sur un terrain communal situé à Valz.
Le 02 mars, Monsieur Fournioux devient l’instituteur de la commune.
Le 15 avril, étant donné les voeux des habitants, le conseil municipal délibère sur le rajout d’une seconde boite aux lettres dans le village de Vieille-Prade. La boite aux lettres de Chambrefaite reste en place.
Le 20 mai, le conseil municipal accepte que l’école soit gratuite sur la commune.
Le 08 octobre, Monsieur Jean Passemard devient l’instituteur de la commune.
1878
Le 21 janvier, Monsieur Mathieu Passemard est réélu Maire de la commune.
Le 28 février, Monsieur Le Maire expose au conseil municipal et aux plus imposés, que les habitants de Ceilloux souhaitent être rattaché à la commune de Peslières et non plus à celle de Valz-sous-Châteauneuf.
Extrait de la délibération :
« Attendu que la séparation du village de Ceilloux aurait pour effet de porter une atteinte grave aux intérêts de la commune, qu’en effet cette section présente une surface importante de terrains sous les impôts profiteur dans une certaine mesure à la commune de Valz ;
Qu’en ce moment surtout où la commune est obligée de se sur imposer extraordinairement de son budget ordinaire, mais encore dans le but d’arriver à pouvoir établir, dans des conditions convenables, une maison d’écoles;
Attendu qu’autoriser la séparation demandé, c’est diminuer sensiblement le nombre de ses habitants, car s’il est vrai de dire que Ceilloux ne contient que 29 habitants, on doit reconnaître que ce chiffre est relativement important si on le compare à celui des habitants de Valz qui s’élève qu’à 295.
C’est à accord que les habitants de Ceilloux font valoir leurs trop grand éloignement du chef-lieu qu’ils portent à 4Kms.
La commune de Valz fait construire en ce moment un chemin pour de Vieille-Prade aller à Valz et qui sera dans des meilleurs convictions possibles ; Quand à la distance, ce n’est pas le seul exemple d’une division de ce genre et les circonstances se trouvent dans les conditions telles, qu’il est impossible , à moins de détruire complètement plusieurs localités voisines à faire une division meilleur.
Par ces motifs, le conseil municipal et les plus imposés, sont d’avis à l’unanimité de protester de toute leur énergie contre le démembrement de la commune projetée par les habitants de Ceilloux, et pris Monsieur Le Maire à faire auprès de l’administration toutes les démarches nécessaires pour faire rejeter cette demande comme préjudiciable aux intérêts de la commune de Valz, sans profit pour les habitants de Ceilloux comme pour la commune de Peslières, qui compte beaucoup plus de population que Valz« .
Le 28 février, Le Maire rappel au conseil municipal la nécessité de la construction d’une maison d’école mixte pour la commune, une amélioration depuis longtemps exigé par la population.
Extrait de la délibération :
« Etant donné qu’il existe sur le chef-lieu de la commune un terrain appartenant à Monsieur Pierre Astier, très convenable pour la construction d’une école, et dont il fait donation à la commune, le conseil autorise en conséquence Monsieur Le Maire à faire procéder par un architecte à l’étude et à la rénovation des plans et devis des travaux ou à faire donner suite aux premiers travaux préparatoires de ce genre déjà exécutés par l’architecte Guimbal et dont la dépense ne devra pas excéder autant que possible la somme de 8000 Francs« .
Le 13 juillet, le conseil municipal approuve à l’unanimité la révision du devis et plans établi par l’architecte Guimbal pour la construction d’une maison d’école sur la commune.
Le 24 novembre, le conseil municipal délibère sur la création d’une bibliothèque afin de contribuer à répandre l’instruction.
1879
Le 16 novembre, Le Maire expose au conseil municipal le besoin qu’a la commune d’être érigée en succursale, et fait remarquer que l’emplacement de la maison d’école ayant été choisi au chef-lieu de la commune, il y aura une impossibilité absolue, pour les enfants, d’aller au catéchisme à Peslières et de revenir ensuite à l’école à Valz. Etant donné qu’à partir de 1880, les enfants seraient obligés de faire dans la neige, un parcours de plus de 16Kms pour assister au catéchisme et revenir ensuite à l’école à Valz, qu’autrefois la commune a formé une paroisse (qu’elle peut expliquer pourquoi elle a perdu ce titre), que la commune de Valz dispense d’un presbytère et d’une église en bon état, que ce n’est que le 27 octobre 1806 que la succursale de Valz a été supprimé et son territoire réuni pour le spirituel à celle de Peslières, le conseil demande à Monsieur Le Maire de faire le nécessaire pour que la commune de Valz soit séparée pour le culte de la commune de Peslières.
1880
Le 9 mai, Monsieur le Maire a fait connaître au conseil municipal l’intention qu’a le Maire de Peslières de faire contribuer la commune de Valz à toutes les réparations qui se feront à l’avenir au presbytère de Peslières, et invite l’assemblée à lui donner son vais sur le sujet.
Extrait de la délibération :
« Le conseil considérant que le curé de Peslières ne dit la messe que trois fois l’an pour la commune de Valz, qu’à Valz il y a un presbytère qui a toujours été et qui est encore à la disposition du desservant lorsqu’il voudra y fixer résidence, considérant aussi que depuis 1806 la commune de Peslières a prélevé et employé toutes les recettes qui se sont faites dans l’église de Valz sans même en donner avis au conseil, qu’un tel état des choses ne peut durer plus longtemps, le conseil est d’avis à l’unanimité que la commune soité séparée pour le culte du culte de Peslières et prie Monsieur Le Maire de faire auprès de l’administration les démarches nécessaires pour arriver immédiatement à ce résultat« .
1881
Le 02 janvier, le conseil municipal sollicite les fonds du département afin de recourir à l’achat de mobilier d’école qui s’élèvent à 790 francs.
Le 23 janvier, Monsieur Mathieu Passemard est réélu Maire de la commune.
Le 13 février, le département et l’Etat auront à fournir, pour compléter les dépenses ordinaires et obligatoires de l’instruction primaire, une subvention de 643.92 francs.
Le conseil à l’unanimité a délibéré à ce que les communaux de Chambrefaite et de Vieilleprade ne soient ouverts qu’aux porcs seulement.
Le conseil à l’unanimité a délibéré que les gambages des ouvertures de la maison d’école ne sont portés qu’en briques et que pour la solidité du bâtiment il serait nécessaire de les faire faire en pierre de Volvic.
Le 18 mai, afin d’assurer l’enseignement de la gymnastique dans l’école primaire communale, le conseil municipal supplie Monsieur le Ministre, de bien vouloir lui faire concession d’un nécessaire métrique et d’une collection de tableaux d’histoire naturelles.
Le 20 septembre, Monsieur Robert devient l’instituteur de la commune.
Le 13 novembre, le conseil municipal à l’unanimité a délibéré que la boite au lettre et la rencontre des facteurs soient transférés de Chambrefaite au chef lieu de la commune, Valz. Cette décision a été accueillie favorablement par Madame la directrice des postes de Jumeaux.
Le 27 décembre, suite à une lettre du ministère des postes et télégraphes, Direction du Puy-de-Dôme, proposant d’accepter que le facteur desservants en premier lieu, en partant de Jumeaux la commune de Valz, desserve au contraire en premier, la commune de Saint-Jean-Saint-Gervais. Le conseil à l’unanimité a décidé que les anciens droits et traditions se maintiennent.
1882
Le 19 avril, suite à une lettre du Ministère de la Justice et des Cultes qui indiquent que si la commune débloque un crédit spécial afin qu’il soit destiné à la création d’une nouvelle succursale, Monsieur le Ministre est disposé à proclamer l’érection de l’église de Valz en chapelle vicariale. De ce fait, les conseillers sont d’avis à l’unanimité de prendre une imposition extraordinaire de trente centimes afin que la commune de Valz retrouve une succursale et soit donc indépendante de la commune de Peslière.
Le 31 mai, d’une part, il est donné connaissance au conseil municipal de la circulaire du Ministre de l’intérieur. Cette dernière indique que le Ministre est désireux de donner à la fête du 14 juillet tout l’éclat que comporte cette grande manifestation nationale et républicaine, et que de ce fait il vient d’inviter les préfets à lui dresser un état des communes dont le budget ne permet pas de faire des dépenses nécessaire afin de pouvoir accorder à ces communes une subvention pour couvrir les frais de décoration, d’illumination et de réjouissance générale. Considérant que cette grande fête, encore peu célébré dans les communes rurales, doit sous une forte initiatives des conseillers municipaux prendre tout le caractère que comporte une telle solennité et réussir en un seul corps de réjouissance une population entièrement dévouée pour rendre hommage à son pays, le conseil municipal invite Monsieur Le Maire à faire auprès de l’administration les démarches sur les fonds affectés à cet effet.
D’autre part, les ministères de l’Instruction et de la Guerre, souhaite que les enfants de l’école puissent aussi, le 14 juillet, célébrer particulièrement cette fête nationale. De ce fait il serait bien de leur offrir un drapeau symbole de la patrie et d’un buste de la République qui serait placé dans l’école récemment construite. De plus, le 14 juillet serait pour les enfants une double fête, celle de l’inauguration de leur école et celle de la République. Considérant que la commune n’a aucune ressource, les conseillers sollicitent Monsieur le Préfet, de bien vouloir, si possible, offrir ces deux objets à l’école.
1884
Le 18 mai, Monsieur Marquet François Pauyet est élu Maire de la commune.
1885
Le 13 décembre, une directrice des travaux manuels est nommée afin d’apprendre les travaux d’aiguilles aux filles de l’école.
1887
Le 28 octobre, Monsieur Gimel Jean est élu Maire de la commune.
1888
Le 14 août, suite à un orage épouvantable qui a enlevé la presque totalité de la toiture de la Mairie, le conseil municipal demande à M. Le Préfet une subvention extraordinaire.
1889
Le 10 avril, le conseil municipal, demande à M. Le Préfet, une subvention afin de pouvoir entreprendre des réparations urgentes et finales sur la maison d’école, notamment sur le nivellement de la cour, la clôture, la construction d’un préau et de cabinets. Les réparations sont urgentes vu le placement de la maison d’école qui est située sur une hauteur d’environ 5 mètres du chemin et que des accidents sont à craindre.
1890
En 1890, 318 habitants sont recensés à Valz-sous-Châteauneuf, selon le livre Géographique du Puy-de-Dôme (Hachette et Compagnie).
Le 18 août, le conseil municipal donne un avis favorable pour la création d’un chemin allant de Lamontgie à la Haute-Loire via les communes d’Esteil, Valz-sous-Châteauneuf et Saint-Martin-d’Ollières.
1892
Le 5 mars, le conseil municipal demande à la préfecture un soutien financier car diverses réparations urgentes et finales restent à faire dans l’intérieur de la maison d’école : la cuisine et une chambre servant de logement pour l’instituteur sont dépourvues de plafonds, l’école est également dépourvue de cabinet ainsi que d’un préau.
Le 8 avril, le conseil municipal vote l’acquisition d’une parcelle de terrain afin d’en faire un jardin pour l’école.
Le 15 mai, Monsieur Gimel Jean est ré-élu Maire de la commune.
1893
Le 28 mars, le conseil municipal refuse de faire partie du futur bureau de poste de Saint-Martin-d’Ollières. Il préfère continuer à être desservie par le bureau de Jumeaux.
Le 11 mai, le conseil municipal demande le maintien du relais des facteurs à Passage. Si ce dernier doit changer pour La Pruneyre (Saint-Jean-Saint-Gervais), le conseil municipal demande alors que le relais qui doit être créé à Fressanges (Champagnat-le-Jeune) soit installé à Valz.
Le 11 juin, le conseil municipal demande que 2500 tuiles du toit de l’école soient changées.
Le 17 septembre, le conseil municipal vote un budget pour la réparation du toit de l’église.
1894
Le 18 janvier, le conseil municipal demande à Monsieur Le Préfet que le chemin des Cheneaux soit classés.
Le 31 mai, le conseil municipal a proclamé deux membres du conseil municipal pour être délégués du bureau d’assistance institué dans la commune, suite à la loi du 1er juillet 1893.
1900
1909 – 1910
Suite à l’élaboration du « chemin d’intérêt commun n°132 » entre Saint-Alyre-d’Arlanc à Jumeaux (1898-1935), une partie est construite sur le « chemin vicinal ordinaire 7 » de Valz-sous-Châteauneuf à Lamontgie entre 1909 et 1910, d’après les archives départementales.
1981
La commune intègre le parc Naturel Régional du Livradois Forez qui est créé en décembre 1981, selon les archives départementales.
1983 :
Naissance, le 1er juillet, de l’association communale et culturelle de Valz-sous-Châteauneuf (comité des fêtes).
1986
Le 14 juillet, tous les habitants de la commune sont invités par le Président de La République, Monsieur François Mitterrand, à la garden party au palais de l’Elysée. Regardez le reportage d’Antenne 2 à ce sujet (avancer à 9 minutes 45 – Archive Institut National de l’Audiovisuel). Des photos de cette journée son disponible sur cette page.
1987
Le 23 février, François Mitterrand est en retour invité à Valz. Cet évènement a été matérialisé sous la forme d’une stèle apposée à côté de la Mairie. Regardez le reportage d’Antenne 2 à ce sujet (avancer à 5 minutes – Archive Institut National de l’Audiovisuel). Des photos de cette journée son disponible sur cette page.
2012
Le 27 juillet, un incendie embrase une grange à Vieilleprade. Il n’y a pas eu de blessé.